“…Il se rattrapa sur le vin, optant sans hésiter pour une des bouteilles les plus chères de la carte, un corton-charlemagne. Ce vin était marqué par “des tonalités beurrées et des arômes d’agrumes, d’ananas, de tilleul, de pomme au four, de fougère, de cannelle, de silex, de genévrier et de miel”. C’était vraiment n’importe quoi, ce vin” Anéantir, 2022 Flammarion